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Goral roux (Naemorhedus baileyi)


Le goral roux (Naemorhedus baileyi) est un mammifère artiodactyle appartenant à la famille des >bovidés. Ce caprin sauvage se distingue facilement des autres membres du genre Naemorhedus par son pelage rougeâtre, tous les autres gorals étant brun-gris avec des poils grisonnants. Le goral roux est également appelé Goral rouge.


Goral roux (Naemorhedus baileyi)
Goral roux (Naemorhedus baileyi)
Crédit photo: Deer Forest2 - Zoochat



DESCRIPTION

Le goral roux est un bovidé de taille moyenne qui partage certaines caractéristiques avec les chèvres et les antilopes. Son apparence robuste et compacte lui permet de s’adapter aux environnements montagneux difficiles. Son poids varie entre 22 et 32 kg, avec une hauteur au garrot d’environ 50 à 70 cm et une longueur de corps atteignant 85 à 110 cm. Mâles et femelles présentent une morphologie similaire, bien que les mâles aient tendance à être légèrement plus massifs.

Son pelage est dense et épais, ce qui lui permet de résister aux températures froides des montagnes tibétaines. La couleur du pelage varie du roux brunâtre au rouge foncé, avec des nuances plus claires sur le ventre et les pattes. Cette coloration constitue un excellent camouflage dans les zones rocheuses et les sous-bois. Une bande dorsale plus sombre traverse souvent son dos, accentuant son apparence caractéristique.

Le goral roux possède des cornes courtes et légèrement recourbées, présentes chez les deux sexes. Elles mesurent en moyenne 13 à 18 cm et sont ornées d’anneaux de croissance qui indiquent l’âge de l’individu. Ses pattes sont adaptées à la vie en montagne, avec des sabots solides et bien développés, qui lui confèrent une grande agilité sur les pentes escarpées.

Ses sens sont bien développés : il possède une ouïe fine et une vue perçante, lui permettant de détecter les prédateurs à distance. Son odorat est également performant, bien que moins développé que celui des carnivores. Tous ces traits morphologiques font du goral roux un animal particulièrement bien adapté à son habitat montagnard.


Naemorhedus baileyi
Naemorhedus baileyi
Crédit photo: Giant Eland - Zoochat

HABITAT

Le goral roux possède l’aire de répartition la plus restreinte parmi toutes les espèces de gorals. Il est limité aux montagnes tempérées du nord de la Birmanie, du sud-est du Tibet, du Yunnan en Chine et du nord-est de l’Inde, en particulier l’Arunachal Pradesh. Il occupe des altitudes élevées, entre 2 000 et 4 500 mètres. Contrairement aux anciennes croyances, cette espèce est la seule présente dans son territoire, sans chevauchement avec d'autres gorals.

En Inde, dans l’Arunachal Pradesh, la présence du goral roux est confirmée dans plusieurs districts : Upper Siang, Dibang Valley, Lower Dibang Valley, Anjaw, Lohit et Changlang, où il est couramment observé par la communauté locale Lisu. Il est aussi supposé être présent dans les bassins des rivières Kameng, Kurung, Kumey et Subansiri, mais ces signalements nécessitent des vérifications scientifiques rigoureuses.

En Birmanie, le goral roux est seulement confirmé dans le nord de l’État Kachin, notamment dans le district de Putao, au sanctuaire de faune de Hponkanrazi et au parc national de Hkakaborazi. À Hkakaborazi, il est la seule espèce de goral signalée, tandis qu’au sud de Nam Tamai, où l’on trouve le goral à longue queue, il est absent.

La Chine abrite la plus grande population de goral roux en termes de superficie, principalement dans le Tibet (Xizang) et le Yunnan.

Au Tibet, la préfecture de Nyingchi est son principal bastion, avec des observations confirmées autour de la ville de Nyingchi et dans plusieurs réserves naturelles (Motuo, Linzhi Dongjiu, Grand Canyon de Yarlung Zangbo). Des relevés effectués en 1987-1988 ont défini son aire entre 27° et 29°30'N, dans les comtés de Bome, Mainling, Bayi, Zayu, Nangxiang et Medog, autour des rivières Pelung Zangbo et Yarlung Zangbo. Récemment, il a été suggéré que son bastion principal se trouve au sud de l’autoroute Sichuan-Tibet.

Au Yunnan, le goral roux est confirmé dans la préfecture autonome Lisu de Nùjiāng et le comté autonome Derung et Nu de Gongshan. Il a été signalé dans la réserve naturelle nationale de Gaoligongshan dans les années 1980, mais son statut actuel dans cette zone reste incertain. Il est également présent dans la réserve du mont enneigé de Baima, en préfecture autonome tibétaine de Diqing. Son aire de répartition y est limitée à l’ouest de la rivière Salween (Nujiang). Contrairement aux croyances antérieures, il ne s’étend pas jusqu’à la province du Sichuan.


Naemorhedus baileyi repartition
     Répartition du goral roux
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ALIMENTATION

Le goral roux est un herbivore ruminant, dont le régime alimentaire est principalement constitué de végétaux adaptés aux zones rocheuses et escarpées où il évolue. Il consomme une grande variété de plantes, en fonction des saisons et de la disponibilité des ressources.

En été, lorsque la végétation est abondante, il privilégie les herbes fraîches, les pousses tendres, les feuilles et certaines fleurs sauvages. À cette période, il peut se nourrir plus librement et accumuler des réserves de graisse pour l’hiver. Durant la saison froide, lorsque les ressources deviennent plus rares, il se rabat sur des écorces, des rameaux, des lichens et des mousses.

Grâce à son appareil digestif adapté, il peut extraire un maximum de nutriments de sa nourriture. Son rumen lui permet de fermenter les fibres végétales, ce qui améliore la digestion et l’absorption des nutriments. Comme d’autres caprinés, il adopte une alimentation opportuniste, s’adaptant aux ressources disponibles pour survivre dans un milieu parfois hostile.

Le goral roux est également connu pour sa capacité à exploiter des plantes toxiques pour d’autres herbivores. Son métabolisme lui permet de digérer certains alcaloïdes présents dans des plantes de haute altitude, lui donnant ainsi un avantage compétitif sur d'autres espèces herbivores partageant son habitat.


Goral roux Arunachal Pradesh
Goral roux au district d'Arunachal Pradesh
© Rahul Rao - Mammals of India
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REPRODUCTION

La reproduction du goral roux suit un cycle saisonnier bien défini. La période de rut se déroule généralement entre octobre et décembre, coïncidant avec le début de l’hiver. Durant cette période, les mâles deviennent plus agressifs et territoriaux, se livrant parfois à des combats pour obtenir l’accès aux femelles en chaleur. Les affrontements entre mâles ne sont pas aussi violents que chez certaines espèces de caprinés, mais ils peuvent inclure des charges, des coups de tête et des démonstrations de force. Une fois qu’un mâle dominant s’est imposé, il tente de s’accoupler avec plusieurs femelles présentes sur son territoire.

Après une gestation d’environ six mois, la femelle met bas un unique petit (rarement deux) entre mai et juin, lorsque les conditions climatiques sont plus favorables et que la nourriture est abondante. Le nouveau-né est capable de se tenir debout et de suivre sa mère quelques heures après la naissance, un trait adaptatif crucial pour un animal vivant dans un environnement où la vulnérabilité aux prédateurs est élevée.

La mère allaite son petit pendant plusieurs mois, bien qu’il commence rapidement à consommer des plantes. L’indépendance totale est atteinte vers l’âge de six mois à un an, bien que les jeunes restent parfois avec leur mère plus longtemps avant de se disperser pour établir leur propre territoire. La maturité sexuelle est atteinte vers deux à trois ans pour les deux sexes, bien que certains mâles ne parviennent à se reproduire que plus tard en raison de la compétition avec les mâles plus âgés et plus dominants.

La longévité du goral roux varie en fonction des conditions environnementales et des menaces auxquelles il est exposé. En milieu naturel, son espérance de vie est généralement comprise entre 10 et 15 ans, bien que certains individus puissent atteindre jusqu’à 18 ans dans des conditions optimales. Cependant, en captivité, où les menaces et les maladies sont moins présentes, cette espérance de vie pourrait être légèrement plus longue.


Goral roux gros plan.jpg
Goral roux en gros plan
Crédit photo: Ding Lingwei - Zoochat

COMPORTEMENT

Le goral roux est un animal principalement solitaire, bien que des groupes familiaux puissent occasionnellement être observés. Les femelles vivent parfois avec leurs jeunes, tandis que les mâles sont généralement solitaires en dehors de la saison de reproduction. C’est un animal diurne, actif surtout aux premières heures du matin et en fin d’après-midi, évitant ainsi les fortes chaleurs de la journée. Il passe une grande partie de son temps à brouter, à se déplacer entre les zones de pâturage et à surveiller son environnement pour éviter les prédateurs.

Doté d’une grande agilité, le goral roux évolue facilement sur les terrains rocheux et escarpés. Il utilise des sentiers bien définis qu’il emprunte régulièrement et possède une excellente mémoire spatiale, lui permettant de se rappeler des emplacements de nourriture et des refuges sécurisés. Pour échapper à ses ennemis, il adopte un comportement furtif et prudent, restant immobile lorsqu’il sent un danger ou s’enfuyant rapidement vers des terrains difficiles d’accès.

Le goral roux communique par des vocalisations courtes, principalement utilisées lors de la saison de reproduction ou pour avertir d’un danger imminent. Il peut également marquer son territoire à l’aide de sécrétions glandulaires et d’urine.


Goral roux Shanghai zoo
Goral roux au zoo de Shanghai
Crédit photo: Ding Lingwei - Zoochat

PRÉDATION

Le goral roux évolue dans des environnements montagneux où il doit faire face à plusieurs prédateurs naturels. Son mode de vie discret et sa grande agilité sur les terrains escarpés lui permettent d’échapper à certaines menaces, mais plusieurs carnivores et rapaces représentent un danger constant, en particulier pour les jeunes et les individus affaiblis.

* Panthère des neiges : La panthère des neiges (Panthera uncia) est sans doute le principal prédateur du goral roux. Ce félin majestueux, parfaitement adapté aux environnements montagneux d’Asie, partage largement le même habitat. Grâce à son pelage camouflé et à sa capacité à se déplacer silencieusement sur les pentes rocheuses, il peut surprendre ses proies avant qu’elles n’aient le temps de s’enfuir. Il s’attaque aussi bien aux adultes qu’aux jeunes gorals, bien que ces derniers soient plus vulnérables.

* Dhole : La dhole (Cuon alpinus), ou chien sauvage d’Asie, est un prédateur opportuniste qui vit en meute. Contrairement à la panthère des neiges, qui chasse en solitaire, le dhole utilise la chasse en groupe pour s’attaquer à des proies de taille moyenne, dont le goral roux. Sa technique consiste à poursuivre la proie jusqu’à son épuisement avant de l’achever. Les terrains escarpés peuvent toutefois offrir au goral roux des refuges naturels, réduisant ainsi les risques de capture.

* Loup de Chine : Lae loup de Chine (Canis lupus filchneri), une sous-espèce de loup gris vivant sur les hauts plateaux du Tibet et en Asie du Sud-Est, constitue également un prédateur du goral roux. Bien qu’il privilégie souvent les ongulés plus petits ou les animaux domestiques, il peut s’attaquer aux gorals lorsqu’ils sont isolés ou affaiblis.

* Renard : Le renard roux (Vulpes vulpes) et le renard du Tibet (Vulpes ferrilata) ne représentent pas une menace pour les gorals adultes, mais ils peuvent s’attaquer aux nouveau-nés ou aux jeunes abandonnés par leur mère. Opportunistes, ils profitent aussi des carcasses laissées par d’autres prédateurs.

* Aigle royal : L'aigle royal (Aquila chrysaetos), un grand rapace présent dans l’Himalaya et les régions montagneuses d’Asie, est capable de s’attaquer aux jeunes gorals ou aux individus affaiblis. Grâce à sa vue perçante, il repère ses proies de loin et peut fondre sur elles en piqué à des vitesses impressionnantes. Il cible principalement les jeunes qui se déplacent à découvert.


Goral roux zoo de Pekin
Goral roux au zoo de Pékin, Chine
© Rony Graf - BioLib
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MENACES

La chasse illégale et la perte d'habitat causées par le développement des infrastructures et l'expansion de la monoculture forestière constituent des menaces majeures dans toute l'aire de répartition de l'espèce. Depuis l'ouverture et les réformes économiques au Tibet, la chasse à grande échelle a eu un impact négatif majeur sur la population de goral roux. Cela est dû principalement au nombre croissant d'immigrants et aux armes modernes. Bien que des interdictions de chasse aient été appliquées de temps à autre dans certaines régions, le braconnage est encore courant, en particulier lorsque les animaux descendent vers leurs aires d'hivernage.

La chasse illégale non durable constitue également la principale menace pour l'espèce au Myanmar, où Rabinowitz (1999) rapporte qu'il s'agit de l'un des ongulés les plus chassés dans son aire de répartition. La viande est consommée localement et les peaux sont vendues à des commerçants. Les cornes sont appréciées à des fins médicinales en Chine. Au cours de l'expédition de Rabinowitz dans les montagnes au nord de Putao en 1997, le village de Gawai a déclaré avoir tué jusqu'à 50 gorals roux par an, tandis que le village de Tahawndam a estimé une capture annuelle de 20 à 30 gorals roux. Malgré la pression de la chasse, Rabinowitz et Khaing (1998) ont signalé que le goral roux était l'un des grands mammifères les plus courants de la région à cette époque.

Dans l’Arunachal, la chasse illégale non durable, notamment à des fins commerciales, constitue également une menace importante. De nombreux chasseurs du nord du Myanmar et de l’Arunachal Pradesh (Inde) affirment dépendre de la viande de goral roux pour leurs longs voyages de chasse au cerf porte-musc. La vente de gousses de cerf porte-musc n’est pas seulement une source importante de revenus pour les populations rurales pauvres de cette région, elle a également une immense valeur culturelle pour la plupart des communautés locales. Dans la vallée de Dibang, le goral roux est une prise accessoire fréquente dans les pièges tendus pour le cerf porte-musc.


Goral roux Dibang Valley
Goral roux photographié à Dibang Valley, Inde
© T R Shankar Raman - iNaturalist
CC-BY (Certains droits réservés)

CONSERVATION

Avec une population totale estimée à environ 10 000 individus, le goral roux est une espèce menacée d'extinction. Il est actuellement inscrit dans la catégorie "Vulnérable" (VU) [critères A2cd] sur la Liste rouge de l'IUCN et en Annexe I de la CITES.

Le goral roux est protégé en tant qu’espèce protégée de classe I en Chine. Il a reçu une protection juridique complète en 1987. Des populations sont actuellement connues dans au moins cinq zones protégées au Tibet et au Yunnan. Un petit troupeau se reproduit avec succès au zoo de Shanghai. Duckworth et MacKinnon (2008) ont proposé les mesures de conservation suivantes pour les populations de goral roux en Chine :

1) Appliquer les lois de protection existantes pour cette espèce.

2) Établir deux zones protégées proposées qui n’ont pas encore été mises en œuvre par le gouvernement de la région autonome du Tibet (TAR) : a) une zone de 200 km de diamètre, avec son centre au "grand point tournant de Yarlung Zangbo Jiang"; et b) un "Centre international de recherche sur les montagnes" dans le comté de Yegon avec huit réserves naturelles dans la zone entourant le pic Nanjabarva. Ces réserves contiendraient l’aire de répartition principale du goral roux, une zone relativement intacte et dotée d’un écosystème de montagne étendu qui abrite des niveaux élevés de biodiversité.

En Inde, le goral roux est protégé par la loi en vertu de l’annexe I (révisée en mars 1987) de la loi sur la protection de la faune sauvage (1972). Bien qu’il soit toujours chassé illégalement, sa chasse est naturellement restreinte en raison de l’inaccessibilité du terrain sur lequel il évolue.

Cette espèce se trouve en grande partie dans des parcs nationaux au Myanmar, notamment dans le sanctuaire de faune sauvage de Hponkanrazi et le parc national de Hkakaborazi.


Red goral
En anglais, le goral roux est appelé Red goral
Crédit photo: Deer Forest2 - Zoochat

TAXONOMIE

Le goral roux appartient au genre Naemorhedus, qui regroupe plusieurs espèces de gorals d’Asie. Il a été décrit pour la première fois en 1914 par le zoologiste anglais Reginald Innes Pocock. L’épithète spécifique baileyi a été donné en hommage à Frederick Marshman Bailey (1882-1967), un explorateur et officier britannique connu pour ses expéditions en Asie, notamment au Tibet et en Himalaya. Il a contribué à la collecte de spécimens d’animaux et de plantes, facilitant leur description par les zoologistes de son époque.

Longtemps considéré comme une sous-espèce du goral de l'Himalaya (Naemorhedus goral), le goral roux a finalement été reconnu comme une espèce distincte en raison de différences morphologiques et génétiques significatives. Il se distingue notamment par sa couleur de pelage plus rousse, sa taille légèrement plus grande et ses adaptations écologiques spécifiques.

Les relations phylogénétiques entre Naemorhedus et d’autres caprinés restent sujettes à débat. Certaines études suggèrent que le goral roux pourrait être plus proche des jharals (Hemitragus) que des véritables chèvres (Capra), bien que des analyses ADN supplémentaires soient nécessaires pour clarifier ces liens évolutifs.

Malgré son statut d’espèce distincte, le goral roux reste peu étudié. Son habitat difficilement accessible et sa nature discrète rendent son observation compliquée, ce qui limite les recherches sur sa biologie et son écologie.

Selon l'étude de Mori et al. (2019), la classification des gorals a été réévaluée en se basant sur des analyses génétiques approfondies. Les résultats ont conduit à une réduction du nombre d'espèces reconnues, passant de six à trois. Cette révision a notamment impliqué la synonymisation de certaines espèces précédemment distinctes, telles que Naemorhedus griseus et Naemorhedus evansi, avec Naemorhedus goral. Ainsi, selon cette classification, les trois espèces de gorals reconnues sont :

* Goral à longue queue (Naemorhedus caudatus)

* Goral de l'Himalaya (Naemorhedus goral)

* Goral roux (Naemorhedus baileyi)

Il est important de noter que cette classification a été sujette à débat. Des études ultérieures, notamment celle de Li et al. (2020), ont proposé une réévaluation, suggérant la reconnaissance de cinq espèces distinctes de gorals. Ces divergences illustrent la complexité de la taxonomie au sein du genre Naemorhedus et la nécessité de recherches supplémentaires pour clarifier les relations phylogénétiques entre ces espèces.


CLASSIFICATION


Fiche d'identité
Nom communGoral roux
Autre nomGoral rouge
English nameRed goral
Español nombreGoral rojo
RègneAnimalia
EmbranchementChordata
Sous-embranchementVertebrata
ClasseMammalia
Sous-classeTheria
Infra-classeEutheria
OrdreArtiodactyla
Sous-ordreRuminantia
FamilleBovidae
Sous-familleCaprinae
GenreNaemorhedus
Nom binominalNaemorhedus baileyi
Décrit parReginald Innes Pocock
Date1914



Satut IUCN

Vulnérable (VU)

SOURCES

BioLib

Google Scholar

iNaturalist

Liste Rouge IUCN des espèces menacées

Mammals of India

PubMed

ResearchGate

Système d'information taxonomique intégré (ITIS)

Ultimate Ungulate

ZooChat

Wilson, D. E., & Mittermeier, R. A. (Eds.) (2011). Handbook of the Mammals of the World. Vol. 2: Hoofed Mammals. Lynx Edicions.

Groves, C., & Grubb, P. (2011). Ungulate Taxonomy. Johns Hopkins University Press.

Schaller, G. B. (1998). Wildlife of the Tibetan Steppe. University of Chicago Press.

Mallon, D. P., & Kingswood, S. C. (2001). Antelopes. Part 4: North Africa, the Middle East, and Asia. IUCN SSC Antelope Specialist Group.

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