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Goral à longue queue (Naemorhedus caudatus)


Le goral à longue queue (Naemorhedus caudatus) est un capriné méconnu appartenant à la famille des bovidés dans le genre Naemorhedus. Originaire des régions montagneuses de l’Extrême-Orient russe, de la Chine et de la Corée, ce mammifère présente des caractéristiques morphologiques uniques, un mode de vie adapté aux environnements escarpés et une écologie spécifique.


Goral a longue queue (Naemorhedus caudatus)
Goral à longue queue (Naemorhedus caudatus)
© Kim Dae Ho - iNaturalist
CC-BY-NC (Certains droits réservés)



DESCRIPTION

Le goral à longue queue est un capriné de taille moyenne, caractérisé par un corps robuste et des adaptations spécifiques à la vie en montagne. Son poids varie généralement entre 22 et 35 kg, les mâles étant légèrement plus grands que les femelles. La longueur du corps oscille entre 80 et 120 cm, tandis que la hauteur au garrot est d’environ 50 à 75 cm. Comme son nom l’indique, il se distingue par une queue relativement longue comparée aux autres espèces de gorals, mesurant entre 15 et 20 cm.

Le pelage du goral à longue queue est dense et épais, particulièrement en hiver, ce qui lui permet de résister aux basses températures des montagnes d’Asie du Nord-Est. La couleur de son pelage varie du gris brunâtre au gris foncé, avec des nuances plus claires sur le ventre et des marques blanches autour du museau et des yeux. Son pelage d’hiver est plus épais et plus sombre, tandis que celui d’été est plus court et plus clair.

Ses pattes sont solides et bien adaptées aux terrains accidentés, dotées de sabots rigides et fendus qui lui permettent de grimper sur des surfaces rocheuses escarpées. Ses membres antérieurs sont légèrement plus courts que ses membres postérieurs, une adaptation qui favorise la montée sur des pentes abruptes. Ses oreilles, relativement grandes et pointues, contribuent à une ouïe fine, essentielle pour détecter les menaces environnantes.

Les cornes du goral à longue queue sont présentes chez les deux sexes, bien que celles des mâles soient généralement plus développées. Elles sont courtes (15 à 20 cm), épaisses et recourbées vers l’arrière, formant une légère courbe. Contrairement aux chèvres, ses cornes ne sont pas spiralées mais restent relativement droites.


Naemorhedus caudatus
Naemorhedus caudatus
Crédit photo: Alex Kantorovich - Zooinstitutes

HABITAT

Le goral à longue queue est une espèce présente en Asie de l'Est, notamment en Russie, en Chine, en République de Corée et potentiellement en République populaire démocratique de Corée (RPD).

* Russie :

Historiquement, le goral à longue queue occupait la moitié sud de la chaîne de Sikhote-Aline, englobant le territoire de Primorsky, le sud du territoire de Khabarovsk et la région autonome juive. Aujourd’hui, environ 80 % de la population russe est concentrée sur le littoral entre le cap Belkin et le cap Ostrovnoy, tandis que les gorals ont disparu du territoire de Khabarovsk et de la région autonome juive. La limite nord-est de sa répartition en Russie se trouve dans le district de Krasnoarmeyski, où un individu a été observé en 1997. La limite sud-ouest se situe dans la réserve naturelle d'Oussouri. L’espèce est confinée aux pentes rocheuses escarpées couvertes de forêts de feuillus, de la mer jusqu'à 1 000 m d'altitude. En raison de ces conditions, seules quelques zones à l'intérieur des terres abritent des populations stables, comme la Porte de pierre dans le district de Dalnegorsk et plusieurs bassins versants dans les districts d’Olga, de Chuguevski et d’Anuchino.

* Chine :

En Chine, le goral à longue queue est présent dans le nord-est du pays, notamment dans les monts Xiao Hinggan Ling et les zones environnant les fleuves Sungari et Amour, qui traversent les provinces du Jilin, du Heilong Jiang et du Liaoning. On le trouve aussi dans la chaîne de Changbaishan, qui marque la frontière avec la RPD de Corée.

* RPD de Corée :

Peu d’informations récentes existent sur la présence du goral à longue queue en RPD de Corée. Il pourrait habiter les monts Hamgyong, situés dans l’intérieur du pays à partir de la côte nord-est, ainsi que les monts Taebaek au sud-ouest. La zone démilitarisée (DMZ) empêche tout passage vers la République de Corée. Une autre zone potentielle est celle des monts Nanghim, situés dans le centre-nord du pays, formant une extension des monts Changhai depuis la province chinoise du Jilin.

* République de Corée :

En République de Corée, cette espèce est présente depuis Goseong-gun, dans la province de Gangwon, jusqu'à Pocheon, dans la province de Gyeonggi. Elle s’est également répandue au sud jusqu'au district d'Uljin, dans la province de Gyeongsangbuk. Les gorals sont aussi observés dans la chaîne de montagnes de Baekdudaegan, qui traverse les deux Corées.

Le goral à longue queue vit dans les régions montagneuses escarpées occupant parfois les forêts de conifères, près des falaises, mais séjourne principalement dans les terrains accidentés et les terrains rocheux. Ces zones sont parfois couvertes de feuilles persistantes et de forêts de feuillus, en particuliers sur les crêtes herbeuses à des altitudes allant de 500 à 2 000 m.


Naemorhedus caudatus repartition
     Répartition du goral à longue queue
© Manimalworld
CC-BY-NC-SA (Certains droits réservés)

ALIMENTATION

Le régime alimentaire du goral à longue queue est principalement herbivore et se compose d’une grande variété de plantes, en fonction de la saison et de la disponibilité des ressources alimentaires. Il se nourrit essentiellement de graminées, d’herbes, de mousses, de lichens, de feuilles, de jeunes pousses, de bourgeons et d’écorces.

Pendant les mois printaniers et estivaux, lorsque la végétation est plus abondante, le goral privilégie les jeunes pousses, les feuilles tendres et diverses plantes herbacées. Les prairies alpines et les forêts mixtes lui fournissent une source abondante de nourriture. Il complète son alimentation avec des fruits et des baies occasionnels. En automne, il adopte une alimentation plus riche en bourgeons et écorces, préparant ainsi son organisme à l’hiver rigoureux. L’hiver est la période la plus difficile pour cette espèce, car la neige et le froid réduisent la disponibilité de la nourriture. Le goral doit alors consommer des lichens, des mousses et l’écorce des arbres pour survivre.

Le goral à longue queue possède un système digestif adapté à une alimentation riche en fibres. Son estomac, divisé en plusieurs compartiments comme chez les autres ruminants, lui permet d’extraire les nutriments des plantes ligneuses et des végétaux difficiles à digérer.


Goral à longue queue Toruń zoo
Goral à longue queue au jardin zoobotanique de Toruń, Pologne
© Margoz - Wikimedia Commons
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REPRODUCTION

Le cycle de reproduction du goral à longue queue est saisonnier et synchronisé avec les conditions environnementales. La période de rut a lieu entre novembre et décembre, et les accouplements se déroulent généralement à la fin de l’automne ou au début de l’hiver. Pendant cette période, les mâles deviennent plus agressifs et territoriaux. Ils se livrent à des combats en entrechoquant leurs cornes pour établir leur dominance et accéder aux femelles réceptives. Ces affrontements sont souvent spectaculaires mais rarement mortels.

La gestation dure environ 6 à 7 mois, ce qui signifie que les naissances surviennent généralement entre mai et juin, lorsque les conditions climatiques sont plus clémentes et que la végétation est plus abondante, offrant ainsi aux jeunes un environnement propice à leur développement. La femelle met généralement bas un seul petit, bien que des jumeaux puissent occasionnellement naître. Le nouveau-né est capable de se tenir sur ses pattes après quelques heures et suit rapidement sa mère. Les mères fournissent des soins attentifs, cachant souvent leurs petits dans des zones rocheuses sécurisées pour éviter les prédateurs.

L’allaitement dure environ 4 à 6 mois, mais les jeunes commencent à brouter dès l’âge de 1 à 2 mois. Ils restent avec leur mère jusqu’à la prochaine saison de reproduction, bien qu’ils deviennent progressivement indépendants au fil des mois. La maturité sexuelle est atteinte vers 2 à 3 ans, les femelles atteignant généralement cette étape plus tôt que les mâles.

Le goral à longue queue a une longévité moyenne qui varie selon qu'il vit en milieu naturel ou en captivité. Dans son habitat naturel, ce bovidé vit généralement entre 10 et 15 ans. Cependant, cette durée de vie est souvent réduite en raison des nombreux dangers auxquels il est exposé. En captivité, où les gorals bénéficient de soins vétérinaires, d’une alimentation constante et de l’absence de prédateurs, leur espérance de vie est généralement plus longue. Ils peuvent atteindre 15 à 20 ans, voire plus dans certains cas.


Goral a longue queue zoo de Berlin
Goral à longue queue au zoo de Berlin, Allemagne
© Klaus Rudloff - BioLib
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COMPORTEMENT

Le goral à longue queue est une espèce essentiellement crépusculaire, active tôt le matin et en fin d’après-midi. Il passe la majeure partie de la journée à se reposer dans des zones escarpées et rocheuses où il est difficilement accessible aux prédateurs. Il est connu pour être territorial et vit en petits groupes familiaux de 2 à 6 individus. Les mâles adultes sont souvent solitaires en dehors de la période de reproduction. Les jeunes restent avec leur mère jusqu’à ce qu’ils soient assez indépendants pour former leur propre territoire.

Son comportement de fuite est impressionnant : en cas de danger, il utilise son agilité et sa capacité à escalader les falaises abruptes pour échapper à ses ennemis. Il peut bondir avec une grande précision d’un rocher à un autre et escalader des parois quasi verticales.

La communication entre les gorals repose sur des vocalisations, des postures corporelles et des marquages olfactifs. Les mâles utilisent des glandes situées près des yeux pour marquer leur territoire en déposant des sécrétions sur les rochers.


Goral à longue queue portrait
Portrait du goral à longue queue
© Jonas Livet - Les zoos dans le monde
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PRÉDATION

Le goral à longue queue évolue dans des environnements montagneux escarpés où il doit constamment faire face à divers prédateurs naturels. Sa principale stratégie de défense repose sur son agilité exceptionnelle et sa capacité à grimper rapidement sur des parois rocheuses abruptes.

* Loup gris : Le loup gris (Canis lupus) est l'un des principaux prédateurs du goral à longue queue. Chasseur efficace et organisé, il traque les gorals en meute, ce qui lui permet d’augmenter ses chances de succès. Les loups ciblent principalement les individus jeunes, malades ou affaiblis, bien que des adultes puissent également être attaqués lorsque les conditions de chasse sont favorables. Ils sont particulièrement dangereux en hiver, lorsque la neige ralentit les déplacements des gorals et réduit leurs options de fuite.

* Lynx commun : Le lynx commun (Lynx lynx) est un chasseur solitaire et opportuniste qui se nourrit de petits et moyens mammifères. Bien qu’il préfère chasser des proies plus petites comme les lièvres et les rongeurs, il peut s'attaquer aux gorals, surtout aux jeunes ou aux individus isolés. Grâce à sa discrétion et à sa puissance, il peut surprendre un goral en bondissant depuis un affût.

* Ours brun : Bien que l’ours brun (Ursus arctos) ne soit pas un chasseur spécialisé du goral, il constitue une menace occasionnelle. Opportuniste, il peut s’attaquer aux jeunes ou aux individus affaiblis, en particulier au printemps, lorsqu’il sort d’hibernation et que la nourriture se fait rare. L’ours peut également déloger un goral en le poursuivant sur un terrain escarpé, le forçant parfois à faire une chute mortelle.

* Tigre de Sibérie : Dans certaines régions du sud-est de la Russie et du nord-est de la Chine, le goral à longue queue partage son habitat avec le tigre de Sibérie (Panthera tigris altaica). Bien que le tigre se concentre principalement sur de plus grandes proies, telles que les cerfs et les sangliers, il peut occasionnellement capturer un goral, surtout si d’autres proies sont rares.

* Dhole : Le dhole (Cuon alpinus), ou chien sauvage asiatique, est un prédateur en meute qui chasse une grande variété d'ongulés. Bien qu'il soit plus fréquent dans les forêts tempérées et subtropicales, il peut attaquer des gorals lorsqu’il se trouve dans des habitats montagneux. Grâce à leur endurance et à leur chasse coordonnée, les dholes peuvent harceler un goral jusqu’à l’épuisement.

* Rapaces : Les aigles royaux (Aquila chrysaetos) et les hiboux grand-ducs (Bubo bubo) s’attaquent principalement aux jeunes, qu'ils peuvent capturer en plein saut ou sur un terrain découvert. Les aigles sont particulièrement redoutables en raison de leur force et de leur capacité à emporter des proies relativement grandes.


Goral à longue queue gros plan
Gros plan du goral à longue queue
© Ivan Seryodkin - iNaturalist
CC-BY-NC (Certains droits réservés)

MENACES

En Russie et en République de Corée, les principales menaces à sa survie sont la perte d'habitat due à l'exploitation forestière, à l'agriculture et au braconnage. En outre, la fragmentation de l'habitat due au développement et aux routes est une menace majeure. On observe également des menaces dues aux fortes chutes de neige au mont Sorak, dans la ville de Samcheok et dans le comté d'Ulgin. En Chine, les menaces comprennent la chasse, la capture au collet, la dégradation de l'habitat et la concurrence du bétail domestique. Le braconnage est à la fois pour la médecine traditionnelle et pour la viande. En Russie, un nombre croissant de petits bateaux appartenant à des particuliers a apparemment conduit à une pression accrue du braconnage dans les habitats des goral côtiers.


CONSERVATION

Le goral à queue longue est considéré comme une espèce menacée. Il est inscrit dans la catégorie "Vulnérable" (VU) sur la Liste rouge de l'IUCN ainsi qu'en Annexe I de la CITES.

En Russie, l'espèce est répertoriée dans la catégorie I de la Red Data Book russe. Ce bovidé est présent dans cinq réserves naturelles où il est intégralement protégé. Des programmes d'élevage en captivité sont menés dans les réserves de Lazo et Sikhote-Alin. Les mesures de conservation proposées pour la Russie sont 

1) Réintroduire le goral dans des zones appropriées autrefois habitées par l'espèce

2) Agrandir la taille de la réserve de Sikhote-Alin pour inclure la zone sud le long de la côte

3) Interdire aux bateaux de s'approcher de rives protégées, en gardant une distance d'au moins 500 m

En Corée du Nord, deux zones proposées comme réserves de biosphère, la réserve du mont Myohyung Nature (37 500 ha) située à 180 km au nord-est de Pyongyang et la réserve du mont Paektu. Ces réserves proposées se situent à la frontière de la réserve de biosphère de Changbaishan à Jilin (Chine). Son statut en Corée du Nord est indéterminé. Les mesures de conservation proposées pour la Corée du Nord sont :

1) Études de l'état de la population par le suivit de sa distribution

2) Le développement des actions de conservation

En Corée du Sud, le goral vivant près du fleuve Amour a été désigné comme un trésor naturel par la préservation du droit des biens culturels en 1968, tandis que la chasse a été intégralement interdite dans l'ensemble du continent entre 1972 et 1981. Les mesures de conservation proposées pour la Corée du Sud sont :

1) Réévaluer entièrement la situation de l'espèce

2) Déterminer la faisabilité de fournir une protection adéquate à travers l'application de mesures de protection actuelles, la création de zones protégées, ou les deux.

3) Déterminer si l'élevage en captivité peut également être nécessaire. Cependant, sans une protection adéquate de l'habitat, cette mesure serait essentiellement académique

En Chine, le goral à longue queue est classé comme une espèce de classe II. Il vit dans la plupart des réserves naturelles situées dans son aire de répartition en Chine du Nord et les régions du nord-est de la Chine.

La validité taxonomique de cette espèce et sa relation avec les autres espèces du genre Naemorhedus doivent être évaluées.


Goral a longue queue zoo de Pekin
Goral à longue queue au zoo de Pékin, Chine
Crédit photo: Alex Kantorovich - Zooinstitutes

TAXONOMIE

Le goral à longue queue appartient à la famille des Bovidae, sous-famille des Caprinae, qui inclut également les chamois, les chèvres et les moutons. Il fait partie du genre Naemorhedus, qui comprend plusieurs autres espèces de gorals réparties en Asie. Le goral à longue queue est souvent confondu avec une autre espèce, notamment le goral de l’Himalaya (Naemorhedus goral), mais il s’en distingue par sa morphologie et son aire de répartition. L’histoire taxonomique du goral à longue queue est marquée par plusieurs révisions et débats parmi les zoologistes.

Le goral à longue queue a été décrit pour la première fois en 1867 par le zoologiste allemand Leopold Fitzinger, qui lui attribua le nom scientifique Naemorhedus caudatus. Le terme "Naemorhedus" dérive du latin naemor, signifiant "forêt" ou "lieu boisé", et de hedus, qui signifie "jeune chèvre", en référence à l’habitat forestier et au lien avec les caprinés.

À l’origine, le goral à longue queue était classé dans le genre Capricornis avec d’autres caprinés asiatiques. Toutefois, des différences notables en termes de morphologie, de comportement et de distribution géographique ont conduit les taxonomistes à le placer définitivement dans le genre Naemorhedus.

Des études génétiques plus récentes ont confirmé la validité de Naemorhedus caudatus comme une espèce distincte. Elle est aujourd’hui largement acceptée dans la classification des Bovidae et est reconnue par les principales institutions taxonomiques. Selon l'étude de Mori et al. (2019), la classification des gorals a été réévaluée en se basant sur des analyses génétiques approfondies. Les résultats ont conduit à une réduction du nombre d'espèces reconnues, passant de six à trois. Cette révision a notamment impliqué la synonymisation de certaines espèces précédemment distinctes, telles que Naemorhedus griseus et Naemorhedus evansi, avec Naemorhedus goral. Ainsi, selon cette classification, les trois espèces de gorals reconnues sont :

* Goral à longue queue (Naemorhedus caudatus)

* Goral de l'Himalaya (Naemorhedus goral)

* Goral roux (Naemorhedus baileyi)

Il est important de noter que cette classification a été sujette à débat. Des études ultérieures, notamment celle de Li et al. (2020), ont proposé une réévaluation, suggérant la reconnaissance de cinq espèces distinctes de gorals. Ces divergences illustrent la complexité de la taxonomie au sein du genre Naemorhedus et la nécessité de recherches supplémentaires pour clarifier les relations phylogénétiques entre ces espèces.


Long tailed goral
En anglais, le goral à longue queue est appelé Long-tailed goral
© YoungJun Kim - iNaturalist
CC-BY-SA (Certains droits réservés)

CLASSIFICATION


Fiche d'identité
Nom communGoral à longue queue
English nameLong-tailed goral
Español nombreGoral de cola larga
RègneAnimalia
EmbranchementChordata
Sous-embranchementVertebrata
ClasseMammalia
Sous-classeTheria
Infra-classeEutheria
OrdreArtiodactyla
Sous-ordreRuminantia
FamilleBovidae
Sous-familleCaprinae
GenreNaemorhedus
Nom binominalNaemorhedus caudatus
Décrit parAlphonse Milne-Edwards
Date1867



Satut IUCN

Vulnérable (VU)

SOURCES

Animal Diversity Web

Arkive

BioLib

iNaturalist

Les zoos dans le monde

Liste Rouge IUCN des espèces menacées

Système d'information taxonomique intégré (ITIS)

Wikimedia Commons

Zooinstitutes

Groves, C., & Grubb, P. (2011). Ungulate Taxonomy. Johns Hopkins University Press.

Wilson, D. E., & Mittermeier, R. A. (Eds.). (2011). Handbook of the Mammals of the World, Volume 2: Hoofed Mammals. Lynx Edicions.

Smith, A. T., Xie, Y. (Eds.) (2008). A Guide to the Mammals of China. Princeton University Press.

Heptner, V. G., & Naumov, N. P. (1992). Mammals of the Soviet Union, Volume 1: Artiodactyla and Perissodactyla. Smithsonian Institution Libraries.

Zhang, B., Jiang, Z., & Ma, L. (2002). Phylogenetic relationships of Naemorhedus species inferred from mitochondrial DNA sequences. Molecular Phylogenetics and Evolution, 25(3), 520-528.