Lynx pardelle (Lynx pardinus)
Le lynx pardelle (Lynx pardinus) est un mammifère
Les mammifères (Mammalia) carnivore
Les carnivores (Carnivora) de la famille des félins
Les félins (Felidae) (Felidae). Ce lynx
Les lynx, originaire du continent européen, est une des quatre espèces formant le genre LynxGenre Lynx comme notamment le lynx commun
Lynx commun (Lynx lynx) qui vit également sur le même continent que lui. Le lynx pardelle est également appelé Lynx d'Espagne ou Lynx ibérique.
© Royle Safaris - iNaturalist
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DESCRIPTION
Le lynx pardelle est un félin de taille moyenne, un peu plus petit que le lynx commun mais similaire au lynx du Canada et au lynx roux. Il mesure entre 65 et 100 cm de long (tête-queue), de 40 à 50 cm de haut, pour un poids allant de 5 à 15 kg. La queue mesure de 5 à 19 cm de long. Le dimorphisme sexuel est visible chez cette espèce, le mâle étant en général plus gros et plus grand que la femelle.
Le lynx pardelle partage un grand nombre de caractéristiques typiques des lynx, c’est-à-dire des oreilles touffues, de longues jambes, une queue courte et une collerette de fourrure qui ressemble à une barbe. Contrairement au lynx commun, le lynx pardelle possède un pelage de fauve marbré de taches sombres qui varient en taille, en forme et en intensité de couleur. La fourrure est sensiblement plus courte que celle des autres lynx, qui sont généralement adaptées à des environnements froids. Ces variantes peuvent s'avérer utiles pour déterminer le degré de diversité génétique au sein des espèces. La queue courte se termine par un manchon noir. Les oreilles triangulaires sont surmontées d'une touffe de poils noirs.
Étant spécialisé dans la chasse aux petites proies, le lynx pardelle a un crâne raccourci qui maximise la force de morsure. En outre, le museau est plus étroit, ainsi que les mâchoires. Ces dernières sont composées de 28 dents au lieu des 30 habituelles chez les félins. Ces adaptations procurent un avantage lors de la capture petite proie rapide et permettent au lynx de mordre qu'une seule fois sa proie pour la tuer en lui perforant l'arrière du cou, rompant ainsi la moelle épinière.
Les jambes du lynx pardelle sont longues et les pieds volumineux en comparaison du reste du corps. C'est un excellent sauteur, grâce à ses membres postérieurs particulièrement adaptés au bond.
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CC-BY-NC (Certains droits réservés)HABITAT
Historiquement répandu dans toute la péninsule Ibérique et au sud de la France, le lynx pardelle ne subsiste plus que dans des zones réduites dans les parties centrales et sud-ouest de l'Espagne, et dans des zones fragmentées du Portugal. Pendant longtemps, les scientifiques se sont demandé s'il restait des lynx dans les Pyrénées. Il semblerait qu'une faible population ait pu survivre jusqu'à aujourd'hui. Ce félin a la répartition la plus petite parmi tous les lynx voire d'un grand nombre de mammifères.
Le lynx pardelle occupe principalement la forêt méditerranéenne et le maquis, un habitat de broussailles, de forêts ouvertes et de fourrés, ainsi que les maquis denses et les pâturages ouverts. Il est largement limité aux zones montagneuses, avec seulement un petit nombre de groupes présents dans les forêts de plaine ou les maquis denses.
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CC-BY-NC-SA (Certains droits réservés)ALIMENTATION
Le lynx pardelle est un prédateur carnivore qui chasse essentiellement de petites proies. Les lapins de garenne constituent la base de son alimentation, contrairement au lynx commun qui se nourrit de proies plus grandes telles que le chevreuil et le chamois. Les jeunes faons peuvent être consommés à l'occasion, si les lapins viennent à manquer. Ce lynx est incapable de changer son alimentation de manière significative si les populations de lapins diminuent fortement. Il lui arrive néanmoins de s'attaquer à d'autres types de proies comme les rats, les souris, les écureuils et les oiseaux, mais en quantité moindre que les lapins.
© CoDe83 - iNaturalist
CC-BY-NC (Certains droits réservés)REPRODUCTION
La saison de reproduction du lynx pardelle se déroule de janvier à février. Après une période de gestation d'environ soixante-trois à soixante-huit jours, la femelle met au monde une portée entre un et cinq petits qui naissent aveugles et ne pèsent pas plus de deux cent cinquante grammes chacun.
Les chatons sont semi-nidicoles à la naissance, et dans la plupart des cas, seuls deux survivent jusqu'au sevrage, qui intervient dix semaines après la naissance. Ils ne quittent la tanière familiale qu'à l'âge de huit à vingt-trois mois. La femelle atteint sa maturité sexuelle vers l'âge de vingt-et-un mois et le mâle à trente-trois mois, mais les deux sexes ne se reproduisent qu'une fois qu'ils ont trouvé leurs propres territoires.
Chez le lynx pardelle, la longévité maximale enregistrée à l'état sauvage est de treize ans. La longévité des individus en captivité est inconnue. Les taux de mortalité sont plus élevés chez les lynx sauvages (48 % par an), dont la plupart n'auront pas eu le temps de se reproduire. Les causes de mortalité sont principalement d'origine humaine et comprennent la circulation routière, la chasse illégale (5 % par an), les prises accidentelles dans des pièges (6 % par an), les attaques de chiens, et les feux de forêt.
© Lynx Ex Situ Conservation Program
CC-BY (Certains droits réservés)COMPORTEMENT
Le lynx pardelle est un carnivore solitaire qui présente une structure sociale de métapopulation. Ils sont nocturnes ou crépusculaires, avec une activité culminant au coucher du soleil, lorsque les proies sont les plus actives. Les habitudes d'activité quotidienne sont liées à celles de leur principale proie, le lapin de garenne (Oryctolagus cuniculus). En hiver, le lynx ibérique peut temporairement devenir diurne.
Les femelles et les mâles adultes vivent sur des territoires qui se chevauchent, et les deux sexes défendent leur territoire contre leurs congénères du même sexe. Le lynx pardelle tue fréquemment les petits carnivores pour réduire la compétition pour les proies et est plus agressif lorsque les proies sont rares. Les chiens, les chats domestiques, les renards roux, les genettes communes, les mangoustes égyptiennes et les loutres d'Europe sont généralement victimes du lynx ibérique.
Le lnyx ibérique vit en petites métapopulations isolées. Le degré de connectivité entre les populations dépend en partie du nombre d'individus dispersés. La dispersion se produit principalement pendant la saison de reproduction, lorsque se produisent la plupart des interactions sociales. Au sein de la famille des félins, les mâles d'un an se dispersent plus fréquemment que les femelles, mais les deux sexes se dispersent vers l'âge de 2 ans. Cependant, dans les populations denses, la dispersion peut se produire à un âge plus précoce en raison de ressources limitées. Les mâles se dispersent plus loin que les femelles, qui héritent occasionnellement du territoire de leur mère ou peuvent s'établir dans des territoires adjacents à celui de leur mère. La distance de dispersion moyenne est de 16 km, ce qui est plus court que celui signalé pour d'autres félidés de taille similaire (lynx du Canada et lynx roux), mais peut varier entre 3 et 30 km. Lors de la dispersion, les individus se nourrissent dans des habitats de moindre qualité, tout en évitant les zones occupées par leurs congénères et les types d'habitats ouverts, tels que les marais ou les terres cultivées. Toutefois, s’il n’existe aucune autre option, ils ne parcourent généralement pas plus de 2 km à la fois dans les marais ou les habitats ouverts. Les risques associés à la dispersion comprennent l'agression de la part des congénères, le stress et la malnutrition associés à la chasse dans des zones inconnues. Cependant, les principales causes de mortalité lors de la dispersion sont d'origine humaine. Près de la moitié de tous les événements de dispersion réussissent, entraînant l’établissement de territoires de reproduction.
Auteur: Pablo Castilla - iNaturalist
CC0 (Domaine public)POPULATION
Au début du XXe siècle, il y avait environ 100 000 lynx pardelle en liberté vivant entre le sud de l'Espagne et le Portugal. Dans les années 1960, la population était estimée à environ 5 000 individus dans la péninsule Ibérique. Dans les années 1980, le déclin était tel qu'on ne comptait que 1 000/2 000 individus sur une superficie d'environ 11 000 km². En 2005, il ne restait plus que 160 spécimens sur une superficie de 585 km².
L'enquête approfondie menée par Guzmán et al. (2004), réalisés principalement en 2001, ont donné une estimation de 26 à 31 territoires de reproduction pouvant correspondre à un maximum de 62 individus matures. Selon les estimations produites dans le cadre des projets successifs de conservation de la nature LIFE de l'Union européenne, la taille de la population a triplé, passant de 52 individus matures en 2002 à 156 en 2012.
© Thomas Gibson - iNaturalist
CC-BY-NC (Certains droits réservés)MENACES
Au cours du XXe siècle, la chasse et le piégeage étaient des sources majeures de mortalité associées au contrôle des prédateurs et à l'exploitation des lapins sauvages. Alors que l'importance de ce facteur en tant que menace pour le lynx pardelle a diminué, au cours des dernières années, certains lynx ont été abattus ou capturés avec des pièges illégaux (Projet Iberlince LIFE 2014). Les accidents de la route entraînent généralement plusieurs pertes chaque année, car la longueur des routes pavées ou élargies, ainsi que la charge de circulation moyenne, ont considérablement augmenté dans et autour des zones où vivent les lynx.
L'homogénéisation des paysages culturels en mosaïque due à l'intensification agricole et sylvicole au cours du XXe siècle a probablement contribué au déclin du lynx pardelle. Les tendances persistantes à l'abandon de l'élevage marginal et à la perte du petit gibier, parfois suivies de reboisement, réduisent encore davantage la quantité d'habitat potentiellement propice à la réintroduction. Sans utilisation viable des terres, le maintien de paysages en mosaïque adaptés au lynx pardelle nécessiterait une gestion intensive durable et coûteuse. Même dans les paysages dotés d'une structure appropriée et soumis à une gestion intensive de la conservation, l'abondance des lapins présente une grande variabilité temporelle étroitement suivie par la probabilité de reproduction du lynx.
La taille effective de la population ne dépasse pas 25 pour chaque sous-population isolée, annonçant de nouvelles pertes de diversité génétique et une accumulation de consanguinité par dérive génétique. En effet, la petite taille persistante de la population au fil des générations de lynx, en particulier dans les basses terres de la région de Doñana, a produit des signes de détérioration à la fois démographique et génétique, notamment des sex-ratios biaisés, une diminution de l'âge d'acquisition du territoire et de la taille des portées, et une augmentation de la mortalité due aux maladies. Une baisse des performances démographiques et génétiques pourrait interagir positivement sous la forme d’un vortex d’extinction.
En tant que manifestation du changement global, la propagation par l'homme de maladies virulentes affectant les lapins de garenne a eu des effets catastrophiques sur les populations de lynx pardelles dans le passé. Même si les lapins pourraient éventuellement développer une résistance, les maladies virales restent une menace récurrente car l'arrivée de nouvelles souches pourrait provoquer à nouveau une dépression durable de la disponibilité alimentaire du lynx ibérique. De plus, la lignée de lapins prédominante dans le sud-ouest de la péninsule ibérique, où le repeuplement des lapins et d'autres mesures de conservation ont lieu, pourrait être plus vulnérable à la maladie hémorragique du lapin (RHDV) que la lignée du nord-est. Par exemple, une nouvelle souche RHDV a été accusée d'une diminution annuelle de 62 % de la productivité (nombre moyen de chatons par femelle territoriale) dans la sous-population d'Andújar-Cardeña. De même, les maladies affectant les félidés se propagent également, parfois avec l'aide d'animaux de compagnie incontrôlés qui deviennent sauvages ou visitent les zones de lynx depuis les villes voisines. Par exemple, en 2007, une épidémie de leucémie féline a tué une fraction importante des lynx à Doñana. Enfin, des modèles détaillés combinant la dynamique des niches écologiques et des métapopulations montrent que, sans intervention intensive, le changement climatique diminuera rapidement les populations de lynx et conduirait probablement à l'extinction du lynx pardelle d'ici 35 ans.
© Joe Bourget - iNaturalist
CC-BY-NC (Certains droits réservés)CONSERVATION
Le lynx pardelle est une espèce en danger d'extinction. Il est inscrit en Annexe I de la CITES correspondant à la protection maximale interdisant tout commerce. La Liste rouge des espèces menacées de l'IUCN classe ce félin dans la catégorie En danger (EN).
L'objectif principal de la gestion de l'habitat est d'augmenter la densité des proies. La gestion alimentaire comprend la supplémentation des lapins dans les enclos et l’augmentation des populations de lapins sauvages. Les tentatives visant à augmenter le nombre de lapins se font essentiellement par le repeuplement dans ou hors des enclos à l'épreuve des prédateurs, mais également par l'acquisition de droits de chasse aux lapins ou par l'amélioration des pâturages et des refuges pour les lapins sauvages. D'autres ressources importantes pour le lynx, qui peuvent être rares dans certaines localités, telles que des cavités utilisables comme tanières de reproduction ou comme points d'eau artificiels, sont fournies. La gestion est appliquée aux sites où la qualité sous-optimale de l'habitat peut empêcher l'installation des subadultes nés à proximité.
Même si la chasse ou le piégeage ne constituent peut-être pas un facteur de mortalité aussi important que par le passé, les zones de lynx sont régulièrement surveillées pour détecter les pièges illégaux. Des mesures d'apaisement de la circulation et certains aménagements de passage à niveau ont été mis en place notamment dans les points noirs routiers. Des campagnes de sensibilisation systématiquement menées dans et autour des zones de lynx ainsi que dans les sites de réintroduction mettent en garde contre les effets drastiques du braconnage sur les petites populations et informent sur les avantages pour la conservation et les services écosystémiques associés à la préservation du lynx pardelle. Les programmes éducatifs parallèles ciblent les écoles et le grand public, qui peuvent également être engagés en tant que bénévoles.
Plusieurs ONG et administrations publiques acquièrent des droits sur des utilisations spécifiques des terres ou aident les propriétaires fonciers à maintenir leurs propriétés compatibles avec la conservation du lynx pardelle en compensant les pertes économiques subies par les propriétaires du fait des actions de conservation.
Certains lynx adultes ont été transférés afin d'atténuer les effets de la consanguinité dans la sous-population de Doñana. D'autres individus sauvages ont été déplacés à environ 30 km de là, à l'origine de deux tentatives de réintroduction en cours dans la Sierra Morena. Quelques individus nés en captivité ont également été utilisés dans des réintroductions, après les premières naissances du programme d'élevage en captivité en 2005. À ce jour, le programme de conservation ex situ du lynx ibérique a produit plus de 270 individus, et à mesure que la population captive s'est développée, les animaux nés en captivité devraient être régulièrement utilisés pour la réintroduction (Programme de conservation ex situ du lynx ibérique 2014). Des modèles récents montrent que, pour être efficaces, les réintroductions doivent prendre en compte les effets conjoints du changement climatique, de l'abondance des proies et de la connectivité des habitats.
Actions futures
Deux pistes principales peuvent être envisagées pour la conservation du lynx pardelle, à savoir la consolidation des populations existantes et la recolonisation, naturelle ou assistée.
Une gestion intensive continue, principalement sous la forme d'une amélioration de l'habitat et d'une augmentation de la densité des proies, a été suggérée pour résister aux effets progressifs d'un vortex d'extinction dont les symptômes peuvent être notés au moins dans la population de Doñana. D'autres composantes de la gestion intensive comprennent la réduction des taux de mortalité due aux accidents de la route ou à la gestion du gibier, et la prévention des épidémies transmises par les animaux domestiques ou les réservoirs fauniques.
La recolonisation naturelle nécessite d'augmenter les chances des corps flottants de survivre et de s'établir dans de vastes zones entourant les noyaux occupés. Ces zones sont peut-être trop vastes pour qu’une gestion intensive basée sur les espèces soit une option, mais une transition vers une gestion plus douce par zone pourrait être envisagée. Une telle gestion pourrait inclure des incitations fiscales pour la gestion du petit gibier, une réduction des transports, des développements industriels ou urbains, l'application de réglementations sur le contrôle des prédateurs et des campagnes de sensibilisation destinées à la population locale.
En ce qui concerne la recolonisation assistée, jusqu’à présent, le lynx sauvage constituait la majeure partie des fondateurs des populations réintroduites. La poursuite de l'extraction du lynx sauvage pourrait ne pas être durable à long terme si l'objectif est la consolidation des noyaux existants et si les extractions réduisent les risques de colonisation naturelle par les surplus de lynx qui se dispersent. Les individus issus du programme d'élevage en captivité pourront progressivement augmenter leur proportion dans les groupes de fondateurs. Cela peut s'accompagner d'une amélioration des performances (survie et éventuellement reproduction) des individus élevés en captivité relâchés, peut-être en les élevant dans des conditions semi-naturelles. La conception de la composition génétique des fondateurs devrait atténuer la diversité génétique nettement faible des populations sauvages. La sélection adaptative de nouveaux sites de réintroduction devrait également tenir compte de la pertinence écologique actuelle et prévue.
© Diego Delso - Wikimedia Commons
CC-BY-SA (Certains droits réservés)SAVIEZ-VOUS QUE ?
* Autrefois considéré comme une sous-espèce du lynx commun (Lynx lynx), le lynx pardelle est désormais classé comme une espèce distincte. Les deux espèces se sont produites ensemble dans le centre de l'Europe pendant le Pléistocène en se séparant par le choix de l'habitat.
* En 2013, l'Andalousie possède une population de 309 individus vivant à l'état sauvage. Pour tenter de sauver cette espèce de l'extinction, un projet européen LIFE-Nature est en cours qui comprend la préservation de l'habitat, le suivi des populations de lynx ainsi que la gestion des populations de lapins.
* Le lynx ibérique était autrefois considéré comme nuisible et aurait un impact négatif important sur l’industrie du petit gibier. En conséquence, le gouvernement espagnol accordait des primes pour leurs carcasses et, lorsqu'elles étaient plus abondantes, il était chassé pour sa fourrure.
* Derrière le nom Pardel se cache un terme historique pour le léopard, faisant allusion au motif de la fourrure du léopard, qui est plus fort que le lynx eurasien et rappelle celui du grand félin. Comme la dernière syllabe du léopard ou du guépard, le nom Pardel vient du mot grec pàrdos, lui-même basé sur le nom persan Parsis.
* Le lynx pardelle apparaît dans les peintures ibériques en fonction de son aire de répartition, par exemple dans le Capricho 43 de Francisco de Goya. Il est également l'emblème de la Réserve naturelle de la Serra da Malcata.
© Royle Safaris - iNaturalist
CC-BY-NC (Certains droits réservés)CLASSIFICATION
| Nom commun | Lynx pardelle |
| Autre nom | Lynx d'Espagne Lynx ibérique |
| English name | Iberian lynx |
| Español nombre | Lince ibérico |
| Règne | Animalia |
| Embranchement | Chordata |
| Sous-embranchement | Vertebrata |
| Classe | Mammalia |
| Sous-classe | Theria |
| Infra-classe | Eutheria |
| Ordre | Carnivora |
| Sous-ordre | Feliformia |
| Famille | Felidae |
| Sous-famille | Felinae |
| Genre | Lynx |
| Nom binominal | Lynx pardinus |
| Décrit par | Coenraad Jacob Temminck |
| Date | 1827 |
Satut IUCN |  |
SOURCES
World Wide Fund for Nature (WWF)
Liste Rouge IUCN des espèces menacées